Réponse à l’étude de cas : Répondre à une attaque en réunion
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Vous décidez de continuer à exposer votre projet sans répondre aux remarques de Julien et de faire comme si vous n’aviez rien entendu.
Cela évite peut être le conflit à (très) court terme, mais ne résout en rien le problème. Car soit Julien ne va pas se calmer et va continuer à essayer de vous déstabiliser (et finir par y arriver…), soit il va en effet arrêter s’il n’y a pas de répondant de votre part, mais vous risquez de ruminer la situation pendant un bon moment. De plus, ce type de réaction en public n’est pas forcément adaptée, car cela indique aux autres que vous n’êtes pas capable de poser vos limites, même face à des attaques injustifiées (du moins sur la forme).
Vous reformulez sa critique et lui demandez d’être un peu plus précis, en ne revenant pas sur le ton désagréable qu’il a employé.
L’idée ici est de ramener la discussion sur un terrain factuel et constructif, et cela peut être une bonne façon de réagir, car vous montrez ainsi que vous n’êtes pas destabilisée par son attaque, et que cela ne vous empêche pas de chercher à dialoguer avec lui, même si sa critique était limite sur la forme. De plus, parler du fond plutôt que de la forme en lui posant la question “Qu’entends tu exactement quand tu dis…” oblige Julien à justifier son intervention, à donner des arguments et donc à devoir formuler une critique constructive. S’il ne le fait pas (et continue sur le même mode agressif/condescendant), le rapport de force se renverse à votre avantage, car il se décrédibilise lui-même.
Vous répondez que vous n’appréciez pas le ton qu’il emploie et lui demandez de reformuler sa remarque de manière plus constructive.
Cette réponse est possible : vous ne faites que verbaliser clairement vos limites de manière frontale et très assertive. Mais elle demande évidemment à ce que vous soyez solidement ancrée sur vos pieds, car il y a des chances que cette réponse mène à un conflit ouvert (peut être pas immédiatement, mais à plus long terme…) ! La réponse 2 montre plus de diplomatie et de subtilité en recentrant sur le factuel, mais si cela a par exemple déjà été fait sans résultats… il faut parfois savoir montrer ses limites en étant plus ferme…
Nos conseils :
Dans la situation de Gaëlle, il est donc important de :
> Ne pas faire semblant d’avoir rien entendu. Savoir réagir à une attaque surtout si elle n’est pas correcte sur la forme est une aptitude importante à avoir, même si ce n’est pas évident à faire de manière calme et mesurée.
> Éviter de réagir de manière émotionnelle, mais plutôt ramener le débat sur du factuel.
> Poser la question “qu’entends-tu par là quand tu dis… ?” ou “peux tu me donner des précisions sur…” est souvent une excellente technique pour répondre à ce type d’attaque.
> Éviter de se justifier, de se montrer sur la défensive. Inutile également de commencer à argumenter de manière trop rationnelle si l’autre n’est pas sur le même “mode”.
> Assumer les conséquences et sembler sûr de soi si on décide de s’affirmer avec plus de fermeté comme dans la réponse 3.
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Vous décidez de continuer à exposer votre projet sans répondre aux remarques de Julien et de faire comme si vous n’aviez rien entendu.
Cela évite peut être le conflit à (très) court terme, mais ne résout en rien le problème. Car soit Julien ne va pas se calmer et va continuer à essayer de vous déstabiliser (et finir par y arriver…), soit il va en effet arrêter s’il n’y a pas de répondant de votre part, mais vous risquez de ruminer la situation pendant un bon moment. De plus, ce type de réaction en public n’est pas forcément adaptée, car cela indique aux autres que vous n’êtes pas capable de poser vos limites, même face à des attaques injustifiées (du moins sur la forme).
Vous reformulez sa critique et lui demandez d’être un peu plus précis, en ne revenant pas sur le ton désagréable qu’il a employé.
L’idée ici est de ramener la discussion sur un terrain factuel et constructif, et cela peut être une bonne façon de réagir, car vous montrez ainsi que vous n’êtes pas destabilisée par son attaque, et que cela ne vous empêche pas de chercher à dialoguer avec lui, même si sa critique était limite sur la forme. De plus, parler du fond plutôt que de la forme en lui posant la question “Qu’entends tu exactement quand tu dis…” oblige Julien à justifier son intervention, à donner des arguments et donc à devoir formuler une critique constructive. S’il ne le fait pas (et continue sur le même mode agressif/condescendant), le rapport de force se renverse à votre avantage, car il se décrédibilise lui-même.
Vous répondez que vous n’appréciez pas le ton qu’il emploie et lui demandez de reformuler sa remarque de manière plus constructive.
Cette réponse est possible : vous ne faites que verbaliser clairement vos limites de manière frontale et très assertive. Mais elle demande évidemment à ce que vous soyez solidement ancrée sur vos pieds, car il y a des chances que cette réponse mène à un conflit ouvert (peut être pas immédiatement, mais à plus long terme…) ! La réponse 2 montre plus de diplomatie et de subtilité en recentrant sur le factuel, mais si cela a par exemple déjà été fait sans résultats… il faut parfois savoir montrer ses limites en étant plus ferme…
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Dans la situation de Gaëlle, il est donc important de :
> Ne pas faire semblant d’avoir rien entendu. Savoir réagir à une attaque surtout si elle n’est pas correcte sur la forme est une aptitude importante à avoir, même si ce n’est pas évident à faire de manière calme et mesurée.
> Éviter de réagir de manière émotionnelle, mais plutôt ramener le débat sur du factuel.
> Poser la question “qu’entends-tu par là quand tu dis… ?” ou “peux tu me donner des précisions sur…” est souvent une excellente technique pour répondre à ce type d’attaque.
> Éviter de se justifier, de se montrer sur la défensive. Inutile également de commencer à argumenter de manière trop rationnelle si l’autre n’est pas sur le même “mode”.
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